Affaire Postale : un nouveau niveau de collaboration avec le Courrier Royal ?
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Dans la nouvelle affaire sur la table, “la Transformation D'affaires 2010 et Au-delà”, la direction CWU sous Dave Ward et Billy Hayes s'est inscrite à une "vision partagée de modernisation” avec le Courrier Royal. Attaché à cela et caché dans les petits caractères de l'affaire sont des plans de couper en arrière la démocratie de CWU en créant plus “de rapport financier professionnel” entre l'union et la compagnie.
C'est un changement à droite massif de la direction comme il tremble dans la peur à la perspective d'élections générales suivies par un gouvernement de Tory. Ils lancent tout par-dessus bord pour faire la paix avec les patrons de Courrier Royaux et montrer le gouvernement de parti travailliste que le CWU est un partenaire "responsable" dans le fait de comprimer le Courrier Royal. Ils espèrent en échange recevoir le déficit de pension de £10 milliards - que le gouvernement a créé en premier lieu - garanti par le parti travailliste pendant que toujours dans le pouvoir. Mais même si c'était probable, les concessions dans l'affaire sont un prix inacceptable pour payer.
Intérêts réciproques ou opposés ?
L'accord rend ce changement du rapport entre la compagnie et la bureaucratie d'union absolument ouvert et explicite : il est “un pas critique” visant “à fondamentalement transforment des rapports et construisent vite une culture d'intérêt réciproque entre les directeurs, l'union et les employés.” (p. 3 “Transformation D'affaires 2010 et Au-delà du " accord)
Que signifie-t-il concrètement ? Le fait d'approfondir la collaboration de fonctionnaires à la réalisation des coupes et du fait d'apprivoiser le peuple de l'union pour correspondre aux besoins de la compagnie qui est carénée pour la privatisation. Après les années de lutte sur le programme comprimant de Courrier Royal, forcé sur eux par la résistance d'ouvriers postaux, le Pupille, Hayes and Co a abandonné n'importe quel faux-semblant d'opposition à l'ordre du jour de modernisation de Courrier Royal.
Évidemment les chefs de CWU n'ont jamais tenu tête aux coupes d'efficacité de Courrier Royal et à la flexibilité. Ils le prêchaient toujours nous devions être réalistes, pas chaque emploi ou centre de courrier pourraient être sauvés. Ils ont terminé l'Accord d'Efficacité 2006, en interdisant des grèves et sans un bulletin de vote de membres et de l'accord de Modernisation et de Paie 2007. Tant a vu des fonctionnaires d'union forcer des bureaux locaux pour concorder des coupes qu'une flexibilité.
Pourtant les chefs d'union se sont aussi opposés (dans les mots au moins) à la "entaille de Courrier Royal et brûler" les plans d'affaires, en soutenant plutôt que le besoin était "de cultiver les affaires" par de "nouveaux produits innovateurs" et un meilleur service public. Les plans de Courrier Royal ont été fondés sur l'attaque de la main-d'œuvre et se retrouveraient à un plus mauvais service public.
Changement dans le message
Avec la nouvelle affaire, cela a changé. Ils ont avalé le message de Courrier Royal que "le courrier décline, nous devons changer", avec l'obséquieux parlent administration exigé de lancer le fait de comprimer comme la modernisation :
“Le Courrier Royal fait face aux défis sur une échelle sans précédent. La révolution numérique, le déficit de pensions, la compétition et le déclin de volume signifient que pour protéger notre avenir chacun doit collaborer et étreindre complètement le changement radical. Pour indiquer un départ à zéro le Courrier Royal et CWU ont développé une vision partagée de modernisation. À son coeur est notre engagement renouvelé à mettre en ligne les intérêts de nos clients, main-d'œuvre et la compagnie en masse.”
Le travail veut complètement ensemble dire un "changement de culture” de déplacer des relations industrielles basées sur l'opposition à celui où les ouvriers postaux "se fient" au Courrier Royal.
Le problème est les intérêts d'ouvriers postaux et de patrons de Courrier Royaux (et les millionnaires de La ville, les agents de change et le gouvernement qui les défendent) ne sont pas des alliés, mais sont opposés – les coupes de salaire proposées, "cinglez et brûlez" les fermetures de bureau et les randonnées de charge de travail les feront les millions dans le profit. Nous devons garder des emplois pas la remise eux quand il n'y a aucun là-bas en raison de la récession.
Le public n'a aucun intérêt pour un service formé pour les puissances financières et avec moins de dépôts locaux, temps de remise derniers, plus haut les prix de timbre et les services swingeing comme la nouvelle charge de £1.50 pour faire laisser tomber un paquet à votre bureau de poste local, une randonnée de 300 %.
Et le point entier de modernisation doit créer des affaires énormément profitables, comme un pas vers la privatisation. Cette affaire n'empêche pas la menace de privatisation, il l'approche.
Démocratie d'union : un accidenté de collaboration
En vérité, c'est la direction CWU, pas la main-d'œuvre, qui a maintenant complètement "mis en ligne" sa vision pour rencontrer le Courrier Royal. Ce pas le dernier, ouvert vers la collaboration de classe avec les patrons postaux montre que les intérêts d'une bureaucratie bien payée, donnée le privilège et ceux des ouvriers et le public sont davantage à part que jamais. Pour permettre ce degré de collaboration aux coupes, l'affaire doit enlever plus de démocratie dans l'union, isoler les décisions des fonctionnaires de la colère des membres. Et l'affaire 2010 fait juste cela.
D'abord sont des changements pour que les fonctionnaires d'union puissent aider des directeurs “garantissent que les accords nationaux sont systématiquement déployés à un niveau local”, en sapant n'importe quelle résistance par les ouvriers locaux à la charge de travail de l'affaire fait de la randonnée. Faire ces hauts de CWU promettent de non seulement comprimer le Cadre de Relations Industriel, mais notre propre démocratie :
“Un rôle plus positif avec le vrai rôle exigera au CWU et ses représentants de reconnaître l'environnement dans lequel les affaires opèrent, engager au succès de la compagnie et adopter la prise de décision plus rapide et améliorée. Le CWU a avisé le Courrier Royal qu'il réformera ses structures intérieures pour le faciliter.” (p. 7)
La récompense est que le Courrier Royal s'engagera à financer des fonctionnaires et un reps à plein temps pour permettre quel Courrier Royal voit comme "les relations industrielles efficaces". L'affaire promet un "rapport financier professionnel" entre l'union et la compagnie "avec le financement de l'activité sur footing plus conséquent". (p. 7)
Le message est clair : si l'union est disposée à jouer la boule, le Courrier Royal financera la libération ainsi les fonctionnaires et le reps peut les aider à faire des coupes plus efficacement!
Crise financière dans l'union
Plus mauvais, l'accord semble dire que la compagnie tirera d'embarras avec les problèmes financiers de notre union, en faisant l'union plus dépendante sur la compagnie :
"Nous accomplirons le travail sur le développement d'un nouveau processus de récupération de dette de libération/branche d'union et les deux partis se consacrent à la nouvelle activité étant exécutée du mai de 2010." (p.
Il qui paie au joueur de cornemuse appelle l'air et beaucoup de membres et reps seront outragés que l'affaire inclut une attaque massive sur les emplois et la charge de travail pendant que les hauts de CWU cimentent leur “rapport financier” avec la compagnie pour protéger leurs propres emplois tranquilles.
Les fonctionnaires de CWU sont certainement inquiétés de la crise financière dans l'union, avec les fonctionnaires de niveau de branche et NEC probablement pour avoir une lutte entre ce qui paie le prix dans les mois futurs et les années. Cette crise est largement créée par les politiques de la direction actuelle. Leur stratégie d'accepter le marché a signifié 60,000 emplois (et subs) étant perdu pendant quelques années dernières. Il y a 30,000 membres non-CWU dans le poste, beaucoup d'entre eux ayant sans doute dans le dégoût au dernier revirement, l'accord de flexibilité 2007 et depuis.
La voie de couper les prix est de tourner notre union d'une vache liquide pour les bureaucrates confortables dans une organisation focussed sur le fait d'organiser des ouvriers postaux et le fait de mener une lutte contre la modernisation et la privatisation. Nous pourrions commencer en nous débarrassant de l'éclat Wimbledon HQ dans Wimbledon et les bureaux somptueux ailleurs. Comment de nos chefs acceptant de mettre tous les fonctionnaires, en incluant des hauts comme Dave Ward sur jusqu'à £100,000 par an, en moyenne le salaire des ouvriers ils représentent ?
Une nouvelle direction nécessaire pour le CWU
Cette affaire, en venant après l'accord d'Efficacité 2006 et la Paie de 2007 et les accords de Modernisation, montre que nous avons besoin d'une nouvelle direction radicale pour l'union, en rejetant la direction et sa stratégie qui ont été désastreux pour les ouvriers postaux.
Une masse de branches votant pour recommander leurs membres rejette l'affaire et "Aucune Confiance" dans la direction actuelle ne serait un pas important vers ce but. Ce serait un refus clair, public de l'impasse dans laquelle Ward and Co a mené notre union à chaque niveau – l'adhésion et finance inclus, à côté des éditions les plus fondamentales des emplois d'ouvriers postaux, la charge de travail, la paie et la condition. Une haute rebuffade de profil de la direction impopulaire et de leurs politiques promouvrait vraiment l'image de l'union dans les yeux des membres et ceux à l'extérieur de nos grades.
Une direction alternative, tirée de l'aile de bagarre de l'union qui a mené les grèves d'année dernière, peut vite se réunir par une campagne énergique pour jeter l'affaire. Cela peut rester une direction démocratique réelle qui sert les membres s'il rejette tous les privilèges bureaucratiques et les avantages et est fondé sur un mouvement de base capable de possession de cela estimer. La lutte pour transformer le CWU dans une bagarre, l'union systématiquement démocratique reste absolument centrale à la défense de nos emplois et industrie.
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